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Le plancher de Jeannot Paris (1)

Le Plancher de Jeannot
7 rue Cabanis Paris 14ème

C’est une histoire vraie, terrifiante, à vous glacer le sang…

Ne me demandez pas d’où je connais ! Pas de mes livres, j’en ai entendu parler, et noté dans un coin de ma tête cette histoire incroyable. Je dois aussi vous dire que l’hôpital Sainte-Anne est ce qu’on appelait communément un asile de fous. Comme la prison de la Santé, l’hôpital se cache derrière ses hauts murs.

A l’hôpital Sainte-Anne, la folie brute du « Plancher de Jeannot »
Ce sont des phrases hallucinantes, exhibées aux portes d’un hôpital. Gravées avec rage, telle une mystérieuse prophétie. Le “Plancher de Jeannot ” interpelle les passants devant l’hôpital Sainte-Anne à Paris.
Installée sur le trottoir, cette pièce unique évoque les délires d’un jeune homme au destin incroyable. En l’exposant pour la première fois au public, l’hôpital espère aussi changer notre regard sur la folie et la souffrance.Hôpital Sainte Anne

“La religion a inventé des machines à commander le cerveau des gens et des bêtes”
Tel est le début de l’étrange et long message posthume de Jeannot, présenté sur le trottoir de la rue Cabanis à Paris. Il évoque les terreurs secrètes et la hantise d’une obscure persécution. Les phrases, gravées dans un plancher en chêne de 16m2, s’enchaînent, souvent sans cohérence apparente.
“Imaginez un jeune type, tout seul à quatre pattes dans sa piaule, en train de graver ses délires dans le sol : Jeannot s’est crucifié lui-même sur ce plancher ” , souligne le professeur Jean-Pierre Olier.

Aujourd’hui encore, le chef du service hospitalo-universitaire à Sainte-Anne reste fasciné par cette œuvre inclassable, un temps convoitée par la Collection de l’art brut de Lausanne. C’est grâce à Jean-Pierre Olier que « Le Plancher de Jeannot » est désormais installé en permanence devant l’hôpital.

Découpé en trois panneaux tels des totems géants, l’œuvre raconte une histoire de souffrances et de folie. Celle d’un jeune paysan du Béarn à la fin des années 60, qui s’est enfermé dans sa chambre pour graver sa souffrance pendant trois mois dans le plancher, et se laisser mourir de faim. Il avait alors 33 ans. Sa sœur Paule, restée seule, s’isolera encore plus. On la retrouvera morte dans la porcherie quelques années plus tard.

Cet immense cri de douleur de Jeannot aurait pu rester totalement inconnu. Mais le plancher est découvert par hasard par une jeune antiquaire qui comprend immédiatement l’intérêt de ce sol atypique recouvert de mots. La jeune femme appelle son père, ancien psychiatre : « Je crois qu’on a trouvé un truc dément”. Le docteur Roux, est un psychiatre connu pour collectionner « l’art des fous » . Il en fait l’acquisition en 1993 puis le revend au laboratoire pharmaceutique Bristol-Myers-Squibb (BMS) en 2002.

Le plancher de Jeannot

“A l’instant où je l’ai vu, j’ai su que j’étais face à une pièce majeure”, dit le psychiatre, bouleversé par la taille du texte, près de 15 mètres carrés de lettres capitales, et convaincu d’avoir découvert un témoignage rare sur la schizophrénie. “Il fallait avoir les yeux de la foi tellement tout était sale autour. Je n’ai pensé qu’à le sortir de là” . Il propose d’échanger le plancher contre un parquet neuf. L’héritier le prend pour un fou, mais accepte !

Et l’histoire du plancher de Jeannot devient publique. Le plancher est arraché, décloué de la maison et transporté par un psychiatre pittoresque de colloques en réunions. “A chaque fois que je l’ai montré, j’ai vu les gens se taire et se figer, comme dans une cathédrale”.

Le texte est composé de 80 lignes de lettres capitales et poinçonnées. Elles accusent, racontent le délire, la souffrance et l’isolement de leur auteur, qui n’est pas un artiste, mais juste un paysan béarnais qui, avant de mourir, a gravé sa douleur sur le sol de sa maison.

“Souhaitait-il laisser un message posthume ? Y avait-il un destinataire à ce cri ? Jeannot était depuis si longtemps fâché avec le monde. Et le monde, son monde, semblait tellement ne plus le comprendre. C’est cette fracture que l’on retrouve quand on part sur les traces de l’extraordinaire plancher.
Et c’est dans le hall de BMS à Rueil, où le plancher est exposé, que le professeur Olier aura sa propre révélation : « Il faut le mettre à Sainte-Anne ! “ . Il circulera d’abord dans différentes expositions de la halle Saint-Pierre, à la Bibliothèque nationale et à la Collection de l’art brut de Lausanne. Mais, sensible à l’insistance d’Olier, BMS accepte de le céder à l’hôpital.

” Les maladies psychiatriques ne doivent plus passer pour honteuses”
Aujourd’hui, Olier espère que l’œuvre ainsi montrée au public permettra ” d’abattre des murs”, et montrer que l’institution a changé. Qu’est-ce qu’un asile aujourd’hui ? 80% des 30000 personnes soignées chaque année à Sainte-Anne viennent désormais uniquement en consultation. Les maladies psychiatriques ne doivent plus passer pour “honteuses”.
A Sainte-Anne, l’expression artistique a aussi une place particulière. Des ateliers d’art-thérapie y sont organisés depuis les années 50, et l’institution possède une collection unique d’œuvres artistiques composées par ses patients.

Hôpital Sainte Anne

Mais alors, ” Le Plancher de Jeannot”?
Peut-on le considérer comme une œuvre d’art brut comme on l’a dit parfois ? Ou bien est-ce seulement le témoignage clinique d’un jeune schizophrène, victime d’hallucinations et de délires de persécution ?
Les deux. “C’est à la fois une œuvre artistique par sa beauté et un témoignage personnel par son contenu” , tranche le docteur Anne-Marie Dubois, qui dirige le Centre d’étude de l’expression à Sainte-Anne. Mais il faut se méfier de toute analyse, ajoute t-elle, ce que quelqu’un produit n’est pas forcément ce qu’il est.” Quarante ans après, les souffrances de Jeannot gardent encore une part de mystère”.

Un témoignage de l’infinie souffrance d’un homme mort dans l’isolement.
Le texte lui-même n’a pas d’intérêt particulier. Tous les jours, des psychotiques dénoncent les complots dont ils se croient victimes, comme ici l’existence de “machines électroniques à commander le cerveau”. Le plancher de Jeannot
Le message de Jeannot est bouleversant : il l’a gravé, en centaines de lettres majuscules, dans le plancher rustique (16 m2) de sa chambre. C’est un véritable travail de forçat, mené dans le plus grand isolement, quelques mois avant qu’il ne se laisse mourir d’inanition, en 1972, à l’âge de 33 ans, dans la ferme familiale des environs de Lembeye (Pyrénées-Atlantiques).
“Ce manifeste, creusé à la gouge ou au couteau en suivant les lignes des lattes de châtaignier, témoigne de l’infinie souffrance d’un homme prisonnier d’une pathologie mentale, la schizophrénie, qui ne fut jamais diagnostiquée. Au moment de sa mort, cette maladie se soignait pourtant depuis déjà deux décennies”.
Ce monumental “testament” a été exposé en France et à l’étranger, et rejoint définitivement, le 29 juin, l’une des entrées de l’hôpital psychiatrique Sainte-Anne, à Paris. Le lieu idoine, puisque les hauts murs d’enceinte, symbole de l’époque révolue de l’enfermement, seront bientôt abattus.

Texte du plancher de Jeannot

“La religion a inventé des machines à commander le cerveau des gens et bêtes et avec une invention à voir notre vue à partir de rétine de l’image de l’œil abuse de nous santé idées de famille matériel biens pendant sommeil nous font toutes crapulerie l’Eglise après avoir fait tuer les juifs à Hitler a voulu inventer un procès type et diable afin prendre le pouvoir du monde et imposer la paix aux guerres l’Eglise a fait les crimes et abusant de nous par électronique nous faisant croire des histoires et par ce truquage abuser de nos idées innocentes religion a pu nous faire accuser en truquant postes écoute écrit et inventer toutes choses qu’ils ont voulu et depuis 10 ans et abusant de nous par leur invention a commandé cerveau et à voir notre vue a partir image rétine de l’œil nous faire accuser de ce qu’il nous font à notre insu c’est la religion qui a fait tous les crimes et dégâts et crapulerie nous en a inventé un programme inconnu et par machine à commander cerveau et voir notre vue image rétine œil… nous faire accuser nous tous sommes innocent de tout crime tort à autrui nous Jean Paule sommes innocents nous n’avons ni tué ni détruit ni porte du tort à autrui c’est la religion qui a inventé un procès avec des machines électroniques à commander le cerveau sommeil pensées maladies bêtes travail toutes fonctions du cerveau nous fait accuser de crimes que nous n’avons pas commis la preuve les papes s’appellent Jean XXIII au lieu de XXIV pour moi et Paul VI pour Paule l’Eglise a voulu inventer un procès et couvrir les maquis des voisins avec machine à commander le cerveau du monde et à voir la vue image de l’œil fait tuer les juifs à Hitler ont inventé” Le plancher de Jeannot

*faire accuser de ce qu’il nous font à notre insu c’est la religion qui a fait tous les crimes et dégâts et crapulerie nous en a inventé un programme inconnu et par machine à (commander cerveau)

Le père qui se suicide, une ferme qui périclite…
Comment Jean, dit Jeannot, a-t-il pu s’égarer ainsi dans la folie sans que personne lui porte secours? Les circonstances de sa claustration volontaire sont connues, grâce aux témoignages recueillis par le Dr Guy Roux, auteur d’un livre sur cette histoire.A ce jour, le Dr Roux n’a révélé ni le nom de la famille ni celui du village, par respect envers l’autre sœur de Jeannot, toujours en vie. “Cet homme n’était pas différent des patients schizophrènes que j’ai suivis au cours de ma carrière, affirme l’ancien psychiatre. La solitude absolue dans laquelle il a pu s’enfoncer doit nous interpeller.”
http://forumdespsychiatres.org/index.php/archive-des-articles-mainmenu-46/78-clinique9/699-le-plancher-de-jeannot
le nouvel observateur
http://rue89.nouvelobs.com/2007/07/09/a-lhopital-sainte-anne-la-folie-brute-du-plancher-de-jeannot
http://www.lexpress.fr/culture/livre/histoire-du-plancher-de-jeannot_822254.html#M4iuR36BBfwS7Xqh.99
La suite demain…pour comprendre pourquoi il a sombré dans la folie…

Le Docteur Roux n’a pas révélé le nom du village où s’est déroulé ce drame, ni le nom de famille de Jeannot, sa sœur étant encore en vie.

47 commentaires pour “Le plancher de Jeannot Paris (1)”

  1. Désolée, j’ai commencé par lire l’autre article ! je sais maintenant que c’est vrai et je vois bien où est Lembeye !
    Quelle histoire terrible ! mais d’aprés ce qu’on a entendu cette semaine, les hôpitaux psychiatriques sont encore bien peu accueillants !
    Merci de m’avoir fait connaître cette histoire.
    Bonne soirée.

  2. bonsoir Francine,
    Je vois que le boulot frappe à la porte , mais aujourd’hui on peut appeler cela de la chance par les temps qui courent…
    Mais voilà le Weekend pour souffler.
    Alors je te le souhaite excellent avec le soleil et ciel bleu
    amités

  3. bonjour francine
    mon coucou du jour
    La météo nous annonce une belle journée printanière aujourd’hui ,vive le printemps qui arrive à petits pas
    je te souhaite de passer une bonne journée
    gros bisous

  4. bonjour francine
    l’on ne fait pas toujours ce que l’on veut
    Un rayon de soleil aujourd’hui ,nous nous acheminons vers le printemps
    je te souhaite de passer une bonne fin de journée
    bisous

  5. édifiante !! ce qui fait peur c’est que c’est récent, pas un passé lointain….sa façon d’écrire me fait penser à des allumettes…
    on va essayer de ne pas faire de cauchemars

  6. bonsoir francine … c’est une histoire qui me glace effectivement le sang … et qui me rappelle un souvenir d’étudiante … je louais une chambre sur marseille à une dame complètement loufoque qui avait un fils enfermé dans une chambre juste en face de la mienne … il hurlait toutes les nuits et lui aussi avait tapissé sa chambre de milliers de feuilles de papier couvertes de textes encore plusaffolants car les mots comme pour jeannot s’inscrivaient les uns à la suite des autres, sans espaces ni ponctuation … je suis partie presque en fuyant après être entrée une fois dans sa chambre …. quelle peur !!
    bonne soirée .. tiens moins au courant pour les résa – bisous

  7. Bonjour Francine,
    C’est une histoire qui glace le sang! Entre folie et génie la frontière est souvent ténue…
    Bonne semaine,
    Frans

  8. Bonsoir Francine,
    Il est certain que ces inscriptions sont un exutoire à son mal de vivre . Dans un temps pas si éloigné de nous, on ne soignait pas les personnes atteintes de dépression liée à un événement qui les avait meurtries et on les laissait de côté sans chercher , avec eux, ce qui pouvait les faire souffrir . Il s’agissait presque d’un abandon …
    Belle soirée Francine.
    Bisous de Bretagne, hier, nous étions au N-E de Nantes chez notre fille mais l’aller-retour sur la journée est bien fatigant pour mon mari et moi, je me suis bravement endormie au retour. Il ne me fait pas confiance pour la conduite et pourtant , quand je vais seule à Rennes ??? ( arrivés à midi, nous repartions déjà à 17 H , cela fait de la route pour quelques heures).

  9. Hello Francine
    33 ans l’age du christ ….on y verra encore dans cette histoire la spiriualité religieuse que peuvent voir certains croyants …. Mais l’histoire de ce jeune homme est terrifiante ! brrr
    bizz
    pat

  10. C’est bien triste et hélas une réalité, comment peut on s’enfermer ainsi dans la folie, c’est une maladie comme une autre, je suis impatiente de connaitre la suite ..
    Gros bisous
    rozy

  11. Salam bonjour mon amie
    jspr que tu vas bien
    une bien teiste histoire que j’apprends chez toi et qje connaissais guère
    mon pc bien que partagé avec mon fils me joue de ces tours
    ma session tout de travers la sienne tout est clean
    bonne journée

  12. un article vraiment bouleversant autour de la triste vie et fin de cet homme – bonne semaine fleurie – bises

  13. Bonjour Francine,
    La schizophrénie demeure encore l’une des maladies les plus mystérieuses de la psychiatrie . Cette maladie intrigue . Les voix qu’entendent les malades, leurs hallucinations visuelles, leurs délires de persécution… restent pour les psychiatres et le personnel soignant des expériences extraordinairement étranges . Et dire qu’un français sur 100 souffre de schizophrénie . Les malades restent confrontés à la stigmatisation , à l’exclusion sociale et à leur extrème souffrance .
    Quant à l’enfermement des malades mentaux , je pense que toute société, pour assurer sa survie, a besoin de se fabriquer ses boucs émissaires. Le Moyen Âge avait ses sorcières et ses hérétiques, nous avons nos malades mentaux…
    Lors de mes études , j’ai effectué des stages en hôpital psychiatrique à Saint-Venant (pas-de-calais) non loin de chez moi . L’étiquette continue de lui coller à la peau. Les « fous » de Saint-Venant ont été catalogués. Difficile aujourd’hui de démystifier ce cliché. Pourtant, les différents services de l’hôpital psychiatrique ne perdent pas l’espoir, un jour, de” dédiaboliser” une image loin de la réalité du terrain…
    Ton article est un hommage poignant à cette maladie .
    Bel après-midi .
    Bisous

  14. Bonjour une histoire intéressante émouvante j’attends la suite … notre soleil matinal a disparu il tombe des cordes bon début de semaine bises

  15. bonjour ,c’est une triste histoire ,qui a laissé des traces ,malheureusement ,même de nos jours ,il y a certainement beaucoup de cas qui ne sont pas diagnostiqués,et chacun de nous peut sombrer dans la folie,la vie est une lutte permanente et difficile….@ plus pour la suite.bon début de semaine ,bises.

  16. Bonjour Francine
    Ça fait un peu peur de lire cette triste histoire mais bien réel
    Je te souhaite une bonne journée, bisous

  17. Pauvre homme , je n’avais jamais entendu parlé.
    J’ai approché le monde de la psychiatrie pendant mes études et les stages , c’est assez effrayant et a la fois très interessant .
    J’y suis restée un mois en tant que soignante … on en sort pas indemme , cela interpelle .
    Bonne journée a toi
    Bizz

  18. Cette histoire est épouvantable ma Francine. C’est dingue d’enfermer les gens de cette façon, et cela existe malheureusement encore de nos jours. Ma fille aînée, fragile et fatiguée par un surmenage dans son boulot à eu des hallucinations il y a quelques années. Elle a été enfermée en psychiatrie à Arpajon, et avec son ami, le papa de mes petits enfants maintenant, nous avons eu le plus grand mal à la faire sortir de cette geôle pour un établissement plus libéral près de Rambouillet. J’étais effarés de ne pouvoir la voir que par un judas, dans une cellule toute petite avec des barreaux aux fenêtres. Une honte de nos jours d’enfermer les gens de cette façon, elle déraillait certes, mais n’était pas violente … Alors pourquoi cet isolement qui perdure dans certains centres psychiatriques. J’attends la suite de cette histoire Francine. Bises et bon lundi. ZAZA

  19. Bonjour mon adorable Francine

    Me voici pour de nouvelles aventures !
    As-tu passé un bon week end ? Moi oui.
    Je te le dis avant que tu me poses la question, hi hi !
    Je souhaite de tout cœur, si tu fais partie de mes amis(es)
    souffrants ou ayant des soucis qui noircissent la vie, que
    cela aille mieux en ce mois de mars.
    Je suis de tout cœur avec toi.
    Si pour toi tout va bien alors j’en suis heureuse, cela veut
    dire que tu auras donc le temps et la force de soutenir les
    précédents.

    Je dépose mon lien ami ici, aujourd’hui une petite visite à mon amie Fruito.
    De la couleur, de la passion, et surtout de l’amitié.
    Alors ne rate pas ce tête à tête car chez elle le printemps tu vas
    l’adorer hi hi !
    http://fruito50.over-blog.com/2014/02/on-va-adorer-le-printemps-chez-soi.html

    Bonne journée et bon voyage en sa compagnie.

    Prends soin de toi.

    Lolli (N’oublie pas mon café lol !)

  20. bonjour , une bien étrange et triste histoire dont j’ignorais totalement l’existence…..il a jour après jour gravé ce testament très particulier…Bon début de semaine ….bisous.

  21. Bonjour Francine,
    j’ai lu ton article, il est très impressionnant… Comment un homme peut-il en arrivé là… et que personne ne soit venu à on secours… J’attends avec impatience la suite de ton récit..
    Belles photos de ces panneaux incrustés.
    Bonne journée, gros bisous

  22. Il y a vraiment matière à faire un super film !!
    je m’étonne que personne n’ait encore eu cette idée
    Quelle histoire, quelle triste histoire et quel triste sort à ce pauvre homme
    ton article est superbe , bien documenté
    Bravo bravo , j’ai partagé …

  23. c’est une histoire très triste pauvre homme muré dans sa folie
    en fait ( qui est fou et qui ne l est pas ??? )
    un beau billet Francine
    bon lundi pour toi
    bises
    kenavo

  24. l’ intérêt est surtout dans la trace qu’ à laissé ce malade mental !
    IL est quand même curieux que personne ne soit intervenu, ni de sa famille, ni du voisinage, et c’ est peut être pour ça qu’ il vaut mieux ne pas révéler l’ endroit .
    Il est plus compliqué de soigner le cerveau que le corps, quand à l’ âme, c’ est impossible !
    IL faudrait savoir ce qui a déclenché la folie !
    bonne journée
    bisous

  25. Tant de souffrances qualifiées de “mentales” quand c’est bel et bien l’Esprit qui exprime l’insoutenable douleur que provoque l’intuition de la Vérité… A très bientôt à l’Antre-soi (qui ouvre dans les jours à venir; encore quelques touches de peinture). Bises, chère amie de Lutéce

  26. Salut Francine,

    J’ai lu ton article. Très intéressant et très impressionnant ! On se pose des questions après lecture. Merci du partage.
    Bonne semaine,
    Yasmine.

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